Et juste comme ça, au-dessus de ma tête, le printemps avait débarqué. Les arbres refournis bouclaient comme mes cheveux lourds, l'insupportable bleu chassait précipitamment le gris.
Les nuits bercées de vent et d'eau de la veille seraient désormais peuplées de bruits, de cris, de corps mouvants, dansants, buvants. Les rues suivraient le même chemin, le même refrain. Parce que tout recommence toujours.
Rien à y faire, si ce n'est attendre et glisser vers la suite, pas à pas, mois par mois. Une longue route où mes pieds se tordent, sur laquelle ma patience s'épuise. Moins que moi, espérons, et mes principes tiendront bon.
Mi Puta Se Llama
"On the Rocks"
MamaMèreMaquerelle
Lundi 8 avril 2024 à 14:56
Ajouter un commentaire
Tu vois, j'ai de la force et de la poigne, de la gagne, tellement que j'en crâne, que j'en cane. J'ai trop de vols derrière les ailes, trop de violence et peu de lestes.
Les Mots des Autres
- realestatejot : Real Estate Jot is your go to platform for insightful articles and expert blogs on real estate trends market insights and property advice. Whether you are a buyer seller or investor. We provide valuable resources to help you make informed decisions in the
- dailyjotting1@gmail.com : dailyjotting.com
- ehallpass.info@gmail.com : you blog is very search able have lot of information in your blog thanks am waiting for more info...etc
- ehallpass.info@gmail.com : i am a proffesional blogger and search in web on google your blog is informatve for me
- monishbiw : Read this poem from first line to the end - loved it - superb work
- Akinator : I love this poetry! It’s been a long time since I indulged myself in this form of art and I am telling you this is the best thing that I have read in months. I am so glad that I came across your website and I look forward to reading more of this.
- joris : Je vous prie de m'en excuser Madame. Mettons ça sur le compte de mon âge avancé
- joris : Il faut bien l'avouer, de moins en moins, et de ton côté?
- joris : Au minimum ! Après si y a quelques cotillons c'est pas de refus.
- joris : Si tu savais ce que je vis cette semaine tu serais un poil plus conciliante...
- joris : Pas même un déguisement? Un déguisement ? Un peu de fantaisie ?
- joris : Baraque à frites.
- joris : je refais : je te devise ca si tu veux... mais je crains que ça vienne ternir notre relation.
- joris : je te devise ça si tu ceux
- joris : Non là c'est le moment où tu vas trop loin jeune fille.
- joris : ouf (oui ça ressemble à plouf, mais non)
- joris : pardon madame.
- joris : plusprèsdetoi.
- joris : plusprèsdetoimondieu
- joris : (L)
<< On ne peut décemment pas... | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | ... traire une vache morte. >>