Moi aussi, je te trouve bonne, Baiseuse.
Puis post partouze, d'imposture à pilier... de bar, après les bourres et les baises, t'y faux-filer. Y poser la fesse entre filles, autres filasses et larguées, et faire semblant de boire.
Te plaindre pour bien plaire, parader ton corps et même après le cul, jouer la digne, la guigne : ah ! j'étais amoureuse, amie aimante, amante et amiante; mais ce nouveau-là n'était pas mieux, pas moins, un peu connard, un peu mesquin, mais pas pour moi, si frêle et fragile, si délicate catine.
Mon dieu, mon pieu, que je suis seule insolente salace, insignifiante salie, salope qui suce, qui sue dessus et bien sous, à dessangler mes desseins, mes deux seins, mes dessous.
Et moi tout joli mec, j'ai du mal amusé à comprendre ces minables minaudes, aux gueules enfarinées, qui hier encore tétaient des sucettes, pour aujourd'hui se pâmer, de s'enfiler tout Paris du bas de leurs vingt ans vantés, et se pimenter l'ego en imitant les gaulées.
sont celles qui ne le sont pas.
Parole d'obsédé.
Mais quitte à te contenter, écarte la bouche, il y a matière à tailler... allons ma puce ! des pipes, et pas de chéquier.
Ton pourboire sera liquide.